The Night of the Wolf [ss] (2013) by Paul Halter (translated by Robert Adey & John Pugmire)

Locked Room International, 2013. Book Format: Kindle Edition. File Size: 688 KB. Print Length: 144 pages. ASIN: B00HET2Y5Y. ISBN: N/A.

The Night of the Wolf is a collection of short stories translated from the French by Robert Adey and John Pugmire, not to be confused with the short story of the same name. It was first published in French in 2000 by Edition du Masque – Hachette Livre as La Nuit du Loup and the first English language edition was published by Wildside Press in 2006. The English edition differs from the original French edition since one of the original short stories, “Un rendez-vous aussi saugrenu”, was dropped because it was impossible to translate into English, and two others were added to the English edition to bring the total up to ten, these stories are “L’Abominable bonhomme de neige” (“The Abominable Snowman”) and “Le Spectre doré” (“The Golden Ghost”). My edition is a republication of the original The Night of the Wolf, first published in 2006 by Locked Room International.

51UcI7DhT5L._SY445_SX342_Publisher’s Description: Coffins dancing in a hermetically sealed crypt; a tunnel that murders people; a werewolf killer who leaves no trace on the snow; a victim killed by an invisible hand at the top of a guarded tower; a homicidal snowman that kills in front of witnesses… There cannot be a rational explanation for these and other hideous crimes; and yet there is. Each story is a glittering example of the brilliant plotting and atmosphere of foreboding that characterized the Golden Age of detective fiction.

My Take: Although I’m trying to read French, I’m not yet proficient enough to fully appreciate Paul Halter’s books, so I decided to read the English edition translated by Robert Adey and John Pugmire. That said, I am not going to repeat here the summaries of each of the stories that make up this volume. Just read some of the reviews in the links below. For my taste, my favourites have been “‘The Cleaver” (“La hache”) and the one that gives the collection its title, “The Night of the Wolf” (“La nuit du loup”). I also enjoyed “The Dead Dance at Night” (“Les morts dansent la nuit”) and “The Call of the Lorelei” (“L’appel de la Lorelei”).  The rest of the stories that make up this volume are: “The Abominable Snowman” (“L’abominable homme de neige”), “The Golden Ghost” (“Le spectre doré”), “The Tunnel of Death” (“L’escalier assassin”),”The Flower Girl” (“La marchande de fleurs”), “Rippermania” (“Ripperomanie”) and “Murder in Cognac” (“Meurtre à Cognac”). All in all an excellent opportunity to become acquaintance with Paul Halter’s universe

The Night of the Wolf has been reviewed, among others, by Patrick at ”At the Scene of the Crime”, Pietro De Palma at ”Death Can Read”, Brad Friedman at ”Ah Sweet Mystery!”, Christian Henriksson at ”Mysteries, Short and Sweet”, Jim Noy at ”The Invisible Event” and Les Blatt at ”Classic Mysteries”.

9782702430095_1_75About the Author: Paul Halter is a French author of detective novels born in 1956. An unconditional fan of John Dickson Carr but also of James Hadley Chase, he entered literature in 1986 with La Malédiction de Barberousse, self-published, and then with La quatrième porte, which won the Prix du Roman Policier in 1987. The following year, Le brouillard rougech won the French Prix du Roman d’Aventures in 1988. His career was launched and since then he has published some forty novels that make him the French-speaking master of impossible crime, following in the footsteps of John Dickson Carr or Clayton Rawson. He created two characters in the series: Dr Alan Twist, an eminent criminologist, and Owen Burns, a Victorian aesthete inspired by Oscar Wilde. He also published several novels without recurring characters, as well as a collection of short stories, La nuit du loup.

Bibliography in English:

Dr Twist and Chief Inspector Hurst novels:

  • La quatrième porte (The Fourth Door) 1987
  • La mort vous invite (Death Invites You) 1988
  • La chambre du fou (The Madman’s Room) 1990

  • La tête du tigre (The Tiger’s Head) 1991
  • La septième hypothèse (The Seventh Hypothesis) 1991
    My blog post is here.

  • Le diable de Dartmoor (The Demon of Dartmoor) 1993
  • L’image trouble (The Blurred Image) 1995 (Translated as The Picture from the Past, Locked Room International, 2014)

  • L’arbre aux doigts tordus (The Tree with Twisted Fingers) 1996 (Translated as The Vampire Tree, Locked Room International, 2016)

  • L’homme qui aimait les nuages (The Man Who Loved Clouds) 1999

  • Le toile de Pénélope (Penelope’s Web) 2001

  • Les larmes de Sibyl (Sibyl’s Tears) 2005

Owen Burns and Achilles Stock novels:

  • Le roi du désordre (The Lord of Misrule) 1994
  • Les sept merveilles du crime (The Seven Wonders of Crime) 1997
  • La ruelle fantôme (The Phantom Passage) 2005

  • Le masque du vampire (The Mask of the Vampire) 2014

  • La montre en or (The Gold Watch) 2019
  • La mystére de la dame blanche (The White Lady) 2020

Standalones:

  • Le brouillard rouge (The Crimson Fog) 1988
  • Le cercle invisible (The Invisible Circle) 1996

Short story collections:

  • La nuit du loup (The Night of the Wolf) 2000
  • The Helm of Hades 2019

Locked Room International 

Paul Halter, a master of locked rooms, by John Pugmire

“Le Témoignage de l’enfant de chœur” (1947) nouvelle de Georges Simenon

« Le Témoignage de l’enfant de chœur » est une nouvelle policière de Georges Simenon écrite à Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson (Québec), Canada. L’histoire est datée du 28 avril 1946 et fut publiée en 1947 aux Presses de la Cité dans un recueil de quatre nouvelles sous le titre générique de Maigret et l’inspecteur malchanceux.

descarga (1)Résumé : Le commissaire Maigret est détaché pour environ six mois dans une ville de province — jamais dénommée — afin de réorganiser la Brigade mobile. Un gamin de douze ans, Justin, raconte à la police qu’il a vu un meurtre à la hauteur du numéro 61 de la rue Sainte-Catherine, alors qu’il allait, comme chaque jour, servir la messe de six heures à la chapelle de l’hôpital, qui se trouve près de son domicile. Il affirme qu’un homme était étendu sur le trottoir, un couteau au gros manche de corne brune, planté dans la poitrine. Effrayé, il s’est enfui tandis que l’assassin, voyant le gamin, filait dans le sens opposé. Mais personne ne croit Justin car il n’y a aucune trace du corps. Personne… sauf Maigret, et celui-ci va comprendre pourquoi Justin s’est permis de révéler à la police l’existence d’un crime sans dire toute la vérité. (Source: Wikipedia)

Mon Avis : L’histoire se déroule dans une ville de province où Maigret est temporairement destiné. Comme leur mission allait durer environ six mois, et comme Mme Maigret ne pouvait supporter la pensée de voir son mari manger au restaurant pendant si longtemps, elle l’avat suivi, et ils avaient loué, dans les hauts de la ville, un appartement meublé.  Au début de l’histoire, Maigret attend le réveil de Justin pour reconstituer ses pas de la veille, lorsqu’il prétendait avoir vu un cadavre dans la rue et qu’en s’approchant, il avait vu l’assassin courir loin dans une direction opposée. Cependant, au passage du premier tramway, à peine cinq minutes plus tard, le conducteur déclare n’avoir rien vu. Au bout de quelques minutes, deux policiers marchant sur ce même trottoir n’ont rien vu non plus. D’autres passaient à proximité sans rien qui attirait leur attention. Et finalement, quelques cyclistes de la police dépêchés depuis le commissariat local pour voir ce qui aurait pu se passer, non seulement n’ont rien vu, mais n’ont trouvé aucune trace de la victime. Maigret est le seul qui semble croire l’enfant de chœur mais, probablement à cause du rhume matinal, il se retrouve avec une forte fièvre au lit, sous la garde de Mme Maigret. Et il doit poursuivre l’enquête, depuis sa chambre. Heureusement, ses propres souvenirs d’enfant de chœur, ainsi que ses propres maladies d’enfance sous la garde de sa mère, l’aideront à se mettre à la place du jeune Justin et éventuellement à percer le mystère.

Une nouvelle de seulement 47 pages qui se lit d’une traite, mais qui ne l’empêche pas d’être agréable et intéressante. Pour moi, la meilleure nouvelle de Maigret, dans laquelle aucun des deux témoins principaux ne ment, mais ils ne disent pas non plus toute la vérité. « Les viellards redeviennent des enfants… Et se chamaillent avec les enfants… Comme des enfants… »

Fiche ouvrage 

Maigret of the month: Le témoignage de l’enfant de chœur